Bjour, ces deux variantes manifestent notre sentiment d'insécurité. Insécurité "pour moi ou pour les miens" , le niveau infantile de notre sentiment d'insécurité ne fait pas cette différence "adulte"/ Mais une chose m'inquiète/ On dirait que votre souci de penser cela en "adulte" vous fait oublier le principal, le petit qui se sens envahi par moment par ces inquiétudes -il les appelle "intrusives" pour cela- C'est lui qu'il faut défendre soutenir et accompagner... jusqu'à ce que ce sentiment d'inquiétude puisse être par l'adulte présenté à l'enfant comme la cauchemar qui lui permet sa pensée. Les médecins qui ont le plus de chance de d'être formés à la psychothérapie des enfants chez les adultes sont appelés des psychiatres. Mais certains n'y sont pas formés, interrogez autour de vous quelqu'un qui a été sorti d'un passage difficile de ce genre, il risque d'avoir une bonne adresse. Vous pouvez aussi demander à votre généraliste s'il connait un de ses patients qui a été bien aidé par un confrère spécialisé dont il pourra vous donner le nom. Ce n'est pas inquiétant, si on ne met pas son mouchoir par dessus et qu'on profite de ce moment difficile pour apprendre plus de choses sur soi et donc sur les humains.
Psychothérapeute Répondu le : 30-12-2015 16:12Il peut s'agir de ruminations ou d'obsessions. Dans le cadre d'un TOC (trouble obsessionnel compulsif), les pensées intrusives traduisent en général la peur d'être responsable de quelque chose de grave (contamination, agression, oubli, erreur etc). Dans le cadre de l'anxiété généralisée (TAG) les pensées intrusives traduisent en général la crainte que les situations finissent par dégénérer en catastrophe (ex. "Ma fille ne répond pas au téléphone. Peut-être a-t-elle été kidnappée???"). Dans les deux cas, les craintes concernent des choses qui nous arriver à nous-même ou aux autres.
Psychothérapeute Répondu le : 30-12-2015 18:12