sans aucun doute. Pour si possible vous dégager un peu des prescriptions-réponses comportementales qui sont le mal du siècle, aussi bien là où on les méprise que là où l'on s'en contente (3 années de consommation d'antidépresseur quand on rencontre un peu de tangage devant la menace de devenir adulte..) Revoyez Molière qui nous fait rire de notre besoin de dépendance aux apothicaires. Et tâchez de trouver un partenaire qui n'ai pas besoin de chapeau pointu pour discuter sérieusement du fait que l'Homme peut sérieusement ressentir quelque vertige à se découvrir "jeté dans le Monde". Mais pensez aussi que Dieu a pensé à l'existence des fleurs et de Bach.. les passions de l'Homme sont le meilleur remède à la panique (avec la médication de pleine conscience dont vus trouverez des exercices sur youtube). Peut être faudra-t-il choisir au début un psychiatre: pour vous débarasser de cette consommation de pharmacie qui vous distrait d'aborder la gravité comme la légèreté de la vie. Et les amours jeune homme vous avez pensé que cela pouvait peser plus lourd que les psychotropes dans la balance de la panique ? Parallèlement à toutes ces questions qui ont besoin d'être traitées pour elles mêmes, pratiquer un sport avec plaisir ( et si possible collectif voire un peu violent) ne pourra que vous aider à surmonter "le reste" avec succès.
Psychothérapeute Répondu le : 29-02-2016 22:02Le problème n'est pas forcément le Seroplex lui-même, qui est très efficace dans cette pathologie. Le problème, c'est qu'il est parfois efficace au point qu'on ne ressent pas le besoin de modifier ses comportements ou ses habitudes. Du coup, quand on arrête le médoc, on rechute. Ce qu'il faut viser, avec ou sans le médicament, c'est prendre des risques et ses confronter à des situations qu'on redoute ou dans lesquels on redoutait que la panique arrive. Mieux vaut être guidé dans ces effort par un spécialiste des thérapies cognitives et comportementales (TCC).
Psychothérapeute Répondu le : 01-03-2016 22:03