Difficile de vous répondre sans examen clinique. Le mieux est de consulter votre médecin traitant afin de poser un diagnostic fiable. Bien à vous.
Répondu le : 01-03-2016 07:03Vous vous posez la question de l'être (suis-je) à partir d'un mot contruit en grec pour faire croire à un être là où n'existe qu'un "manque d'appétit". Nos magazines pensent ainsi à notre place "Jeanne Mas raconte son terrible combat avec l'Anorexie.." pour un peu on ajouterait un "h" et un " y" . Vaste question, que celle du manque d'appétit qui survient au moment où l'ont rencontre des difficultés avec l'abandon des plaisirs de l'enfance. Cela mérite vraiment d'en parler (longuement sinon rien) avec votre généraliste.. ou tout autre adulte un peu en sérieux et calme qui ne s'occupera pas tant du mot pata-scientifique grec que de ses souvenirs de la difficulté du Monde de ses 13 ans. En plus de ces difficultés normales, puisque vous vous adressez à des médecins, je dois vous répondre qu'il y a une devos difficultés qui elle n'est pas normale (= une difficulté qui sort de la norme statistique): vous vous faites vômir. Là c'est comme une blessure normale qui s'infecte anormalement: ça risque de ne pas cicatriser normalement. Et c'est exactement pour cela que votre généraliste ne prendra pas les chose à la legère et que vous allez lui dire que c'est moi qui vous ai conseillé d'aller lui demander de se renseigner sur qui pas trop loin de chez vous (pour que ce soit facile d'y aller.. même si ce sera parfois pas facile), il existe un médecin psychiatre et psychothérapeute qui a déjà aidé des jeunes filles "qui se faisaient vomir" à sortir de me mode de se ré-assurer qui augmente au contraire le besoin de continuer. En même temps, mettez-y du ;vôtre" de façon active, comme si vous ne comptiez que sur vos propres forces: developpez des activités qui vous permettent de "vous éclater" (image) sans vous limiter ni prendre de risques (vomir c'est s'éclater (réalité) en prenant des risques. Des activités qui vous permettent de bien sentir que vous habitez votre corps. Vos parents sont évidemment vos appuis naturels devant toutes les difficultés, mais vous pouvez imaginer que leur parler de vous en grec (anorexie) peut les amener à se faire du souci. Dans ce cas, même si vous vous faites accompagner par votre mère chez le medecin, il n'y aura rien d'inquiétant à ce que vous demandiez à parler un temps seule avec le médecin "pour des problèmes de jeune fille.. pour des peurs qui vous font honte parce que vous les trouvez ridicules"... ou n'importe quelle phrase banale parce que " pas en grec". Et quand vous aurez discuté SUFFISAMMENT à deux, vous discuterez avec le médecin de ce qu'il est souhaitable ou non de dire à vos parents au sujet de cet accident sérieux mais ppassager dans votre développement.. normal. Mais ne restez pas seule avec cela, cela s'est déjà fixé sur "se faitre vomir", il ne faut PAS laisser s'installer cette fausse solution qui va installer sinon un malaise durable. Faites nous savoir si vous ètes parvenue à vous faire entendre.
Psychothérapeute Répondu le : 01-03-2016 13:03