je vous remercie de m'avoir fait bien rire avec ce mot de pata-médecine diafoiresque que je croyais VOTRE invention... Pour nous faire rire en vous présentant comme possible phobique des gens qui rient..etc.. (une moquerie de la psychiatrie rabougrie dans cet espéranto de dealer, le DSM américain. Mais je connais aussi l'essort réellement inépuisable du ridicule du Diafoirus de Molière que nous sommes toujours avec notre besoin de parler en grec pour nous couper plus particulièrement de la charge émotionnelle, notre peur de l'apparente absurdité de nos phobies. J'ai donc cherché sur le net si un de nos communicants n'avait pas fait sa pub en inventant ce mot . Et vous pourrez lire comme moi l'article de Wikipédia qui date cette invention verbale de 1995. Et un paragraphe, pas très bien fait, la distingue d'une phobie sociale. A mon sens ON peut avoir intérieurement peur des moqueries sans que cela ne rétrécisse la liberté de se mêler au monde (cette limitation étant ce que dit d'invention verbale greco-latine "phobie sociale"). Cela change l'inconfort, témoigne de son aggravation, mais cela n'a guère d'intéret pour le thérapeute de faire une telle classification. Ce qui importe pour le traitement c'est la rencontre, et qu'elle accompagne celui que cette peur fait souffrir, (que ça le gène pour sortir, ou pas) , OU ? Vers la peur déplacée mais qui elle a été justifiée, mais est devenue inconsciente au moyen cette fixation absurde devenue obsedante voire enfermante :"est-ce qu'ON ne rirait pas de moi.. là ..maintenant?"
Psychothérapeute Répondu le : 18-03-2016 13:03Si cette peur prend un caractère phobique, et vous pousse notamment à éviter tout un tas de situations au point d'en être handicapé, la réponse est oui. S'il s'agit juste d'une crainte légère qui ne vous empêche pas d'agir et de vous exposer au regard/jugement d'autrui, la réponse est non.
Psychothérapeute Répondu le : 18-03-2016 22:03