Bonjour, si nous disposions déjà de machines à prescrire programmées par les laboratoires et les politiques qui forment déjà pour cela leurs médecins par QCM (questions -déclencheurs de comportements) voici quel serait la traduction de vos 2 prescriptions: la prescritpion "LORAZEPAM" aurait été déclenchée par la plainte "DEPRESSION" la prescriptions "PAROXETINE" aurait été céclenchée par la plante "ANXIETE" Rassurez vous vous, cette machine aurait ainsi imposé là 2 prescriptions parfaitement compatibles. Voire complémentaires. Ces precription est donc parfaitement orthodoxe. Et leur addition aussi. Mais dans votre relation à ces 2 médecins, la médecine et l'humanité sont ailleurs. Vous voilà donc rassuré, vous pouriez donc commencer de penser plus loin. Plutot que de vous abimer ainsi dans ce cauchemar, ou rêve, de supermarché du meilleur des mondes qui vous affranchirait certes de votre symptome présent, mais surtout de votre humanité, réalisez qu'à vous fixer ainsi sur les molécules d'un distributeur, vous auriez éliminé la chair et la culture qui définissent cette relation humaine: la médecine libérale Elle n'est pas un machine qui produit une prescription, la médecine qui n'est pas du semblant ne fait que PASSER PAR une prescription. Et en éliminant la médecine avec le médecin, vous seriez assurément devenu aliéné aux molécules, du labo et de la machine. C'est le but de tout commerce. PAS le but de la médecine. Pour la culture et la défense de votre humanité face à la barbarie... tout commencera à l'opposé avec votre considération au contraire de la relation UNIQUE que vous avez noué avec ce médecin là (ces 2 médecins là que je vous invite à faire converser) ces deux molecules ne sont que l'OCCASION d'entrée en role de 2 medecins. Et encore une fois ces 2 molecules sont que ce que n'importe quel médecin ou machine sans médecin aurait répondu devant la plainte double ANXIETE + DEPRESSION. Avec (ou sans) ces 2 molecules, qui sont sans aucune originalité et qui dépendent beaucoup plus de la disponibilité de vos médecins pour une rencontre mutative , vos deux médecins sont rentrés avec vous dans une relation de soins. Elle seule relève de la médecine depuis Hippocrate (qui n'est pas la prescription, mais le PRENDRE SOIN dont la molécule est la partie superficielle). Nous pensons certes à la molecule, mais comme à UN MOYEN DE VOUS ACCOMPAGNER DANS UN SEVRAGE sans les semaines qui suivent ... Car si vous vous sentez "déprimé" ou "anxieux", (pas besoin d'être médecin, pour cela un pharmacien suffit), ce sont là pour nous les signes ordinaires, et non spécifiques, comme la prescription est banale, d'une perte dont nous allons ainsi construire avec vous le sevrage. Sinon, tout le travail serait à (re)commencer de façon simplement dé-portée, seulement quand ces molecules vous auraient rendu dépendant, et que c'est d'elles qu'il faudrait se séparer. Ce qui vous dissimulerai d'autant la perte qui était vraiment à l'origine de ces réactions humaines normales.. Une séparation difficile sans un dialogue et un soin pour l'élaborer.

Il n'y a pas de problème d'interaction entre ces deux médicaments. Votre niveau de vigilance peut éventuellement baisser, ce qui implique de prendre quelques précautions, notamment en ce qui concerne la conduite de véhicule. Par ailleurs, il serait judicieux que vos deux médecins se mettent en relation pour vous aider au mieux.