Question Psychologie - Psychiatrie par ludivinegre

Bonjour, dans ces circonstances difficiles vous avez besoin de bien comprendre en effet l'aspect procédure.. qui n'est souvent traité que pour passer un examen de médecine, pas pour une famillle. Allez voir cela par exemple Sur WIKIPEDIA. Une fois qu'on a compris, mais il faut avoir compris pour penser plus loin, il reste que comme tout ce que délivre le médecin, (un internement, une molécule), là n'est pas le SOIN qu'il donne en donnant cet internement ou cette molécule. Car prendre soin c'est partir des personnes et non du truc qu'on va leur vendre. Pour cela vous avez besoin de faire équipe avec un ou des médecins (en plus de vos parents). D'abord celui qui soigne votre parent et qui est déjà engagé dans une relation difficile d'où il pourra commenter et éclairer votre propre situation difficile. Ensuite votre propre médecin traitant. Et n'oubliez pas celui que vous ne connaissez pas mais qui sera de toutes façon le soignant si un internement des ordonné: le Medecin-Chef de l'unité d'hospitalisation qui est tenue de recevoir les hospitalisations sous contrainte qui correspondent à l'adresse légale du patient désigné. Même s'il ne connait pas son futur patient, il est déjà désigné par la loi comme devant le soigner, autant que vous ayez appris à echanger dans l'intéret du patient désigné. A partir de la concertation de ces différentes "personnes intéressées par la situation difficile" il deviendra possible d'imaginer un RV au dispensaire de Secteur, une visite à domicile.. et/ou de construire la moins mauvaise façon de procéder...selon la procédure. Beaucoup de choses peuvent être faites pour améliorer le " sommeil" , ou la "douleur" qui transformeront déjà l'intolérance de votre parent à l'idée qu'il puisse présenter des difficultés "mentales".. en plus de tous ses soucis de santé.

Bonjour, dans ces circonstances difficiles vous avez besoin de bien comprendre en effet l'aspect procédure.. qui n'est souvent traité que pour passer un examen de médecine, pas pour une famillle. Allez voir cela par exemple Sur WIKIPEDIA. Une fois qu'on a compris, mais il faut avoir compris pour penser plus loin, il reste que comme tout ce que délivre le médecin, (un internement, une molécule), là n'est pas le SOIN qu'il donne en donnant cet internement ou cette molécule. Car prendre soin c'est partir des personnes et non du truc qu'on va leur vendre. Pour cela vous avez besoin de faire équipe avec un ou des médecins (en plus de vos parents). D'abord celui qui soigne votre parent et qui est déjà engagé dans une relation difficile d'où il pourra commenter et éclairer votre propre situation difficile. Ensuite votre propre médecin traitant. Et n'oubliez pas celui que vous ne connaissez pas mais qui sera de toutes façon le soignant si un internement des ordonné: le Medecin-Chef de l'unité d'hospitalisation qui est tenue de recevoir les hospitalisations sous contrainte qui correspondent à l'adresse légale du patient désigné. Même s'il ne connait pas son futur patient, il est déjà désigné par la loi comme devant le soigner, autant que vous ayez appris à echanger dans l'intéret du patient désigné. A partir de la concertation de ces différentes "personnes intéressées par la situation difficile" il deviendra possible d'imaginer un RV au dispensaire de Secteur, une visite à domicile.. et/ou de construire la moins mauvaise façon de procéder...selon la procédure. Beaucoup de choses peuvent être faites pour améliorer le " sommeil" , ou la "douleur" qui transformeront déjà l'intolérance de votre parent à l'idée qu'il puisse présenter des difficultés "mentales".. en plus de tous ses soucis de santé.

La première étape à conseiller est de le faire consulter un psychiatre, ce qui n'est pas forcément une chose facile à accepter pour quelqu'un qui se sent persécuté et menacé. Il est tout à fait possible que son cancer soit en cause dans cette évolution d'allure psychiatrique, ce pourquoi il serait judicieux de pratiquer quelques examens, notamment une imagerie cérébrale, ce que votre oncle accepterait peut-être plus facilement dans un premier temps. L'éventuelle "normalité" de ces examens pourrait alors constituer un argument plus puissant pour l'inciter à consulter un psychiatre. Si une hospitalisation sous contrainte était nécessaire, elle serait décidée par un médecin, psychiatre dans la plupart des cas. Un membre de l'entourage pourrait alors être sollicité pour appuyer cette décision avec ce qu'on appelle une "demande de tiers".