Vous avez eu la réponse pour le problème osseux. Pour ce qui est du problème humain, vous l'avez classé sous le mot "addiction". Autrement dit, cela dit que "le patient a perdu la liberté de dire non". C'est là que commence la médecin proprement dite: comment peut on aider une personne qui sent qu'elle a perdu sa liberté de choisir ni aimer ce qui serait meilleur pour elle ? Il faut faire un travail sur ce qui a rendu inatteignable d'autres plaisirs.. et pas se précipiter pour COMBATTRE ce qui est sans doute un des restes de plaisir disponibles. Cela s'appelle une psycho-thérapie, une thérapie par la relation humaine, individuelle ou en groupe avec d'autres addictes (on retrouve mieux la distance perdue en regardant un autre que soi même). Votre médecin traitant ou des amis d'amis peuvent vous indiquer une adresse qui a déjà démontré qu'on y aidait les personnes en difficulté "à se remettre débout... sur pieds.. etc.."
Répondu le : 12-09-2016 14:09