la chose normale qui ne trouve à s'exprimer que sous cette forme peu frequente est humaine, et c'est en l'accueillant et en lui faisant toute sa place dans la relation psychothérapique qu'il est probable qu'elle ne restera plus parquée dans cette localisation inhabituelle. Mais le problème n'est pas la localisation, ce serait la censure. Tu as un secteur de vie érotique qui est inhabituellement localisé, tant qu'il ne s'éteint pas, il y a de l'espoir que l'accès ua plaisir puisse se trouver mieux libéré
Répondu le : 13-09-2016 18:09