jusqu'à ces dernières années nous ne disposions que des "anxiolytiques" (des "toxiques" concurrents ) et desvtechniques de relaxation hypnose pour médiatiser la relation de soin qui reste décisive quand aux mouvements du patient qui y permettent la réorientation de toute la sphère relationnelle. Depuis le baclofène, nous disposons en plus d'une molecule qui indépendamment de qui la donne est susceptible de produire que celui qui continue à boire (le baclofene n'exige pas de sevrage)..un matin découvre avec surprise qu'il n'a PLUS BESOIN. Il y a des effets secondaires que votre médecin vous eclairera et qu'il travaillera à rendre acceptables vu l'enjeu, s'il en voit avec vous l'indication.
Répondu le : 07-10-2016 14:10