Question Psychologie - Psychiatrie par Jere

bonjour. Vous utilisez le mot des anciens, et de Freud aussi et vous avez raison. Il s'agit de la part de votre énergie vitale qui "ose" prendre une formeouvertement sexualisée. Il est certes possible de troubler la fonction sexuelle avec des toxiques, dont les antidépresseurs, 'alcool, le tabac.. Cependant chez les hommes ces troubles sont d'abord de troubles de la relations entre la tete et la queue (Dieuet la Chair si vous préferez le dire comme ça ). Et je compatis: quelle qu'en soit la cause, je trouve terrible qu'un garçon ait été "privé de dessert" pendant si longtemps. Vous avez raison de vous reveiller cela ne doit pas durer. Ben entendu vous passerez et etes déjà passé par la cas "medecine" ..avec le résultat que vous dites. Je vous conseille vivement de consulter un psychiatre qui ne soit pas embarrassé par ces question d'orientation sexuelle. 5 ans après il ne s'agit pas d'une "panne sexuelle" comme on raconte dans les magazines. Appelons cela un mutisme de votre libido= un mutisme de votre appareil à vous orienter vers les acrivités sexuelles. Mutisme c'est là pour vous dire que les mutiques ne se taisent pas pour rien: ils ont été maltraités. D'autre part, cet organe d'orientation vers les choses sexuelles, c'est à dire vers les au moins deux sexes (le votre et ceux des autres), il a une histoire. Il s'estbien développé jusqu'à 5 ans, apartir dequoi il se laisse endormir pour developper plutot les acquisitions scolaires... puis la question revient souvent vers 14 ans à la recherche de ce que c'est que "la connaissance au sens Biblique" (ils se connurent et eurent des enfants). Les causes de dépression à 16 ans tournent autour de ce reveil qui est traité par les anesthésiants. Vous en avez pris une surdose. Faites vous accompagner pour remettre tout cela en circuit. Ce qui estanesthésié n'est pas disparu.. cela se protège seulement d'une souffrance redoutée.. (je pense ici à l'expression "le petites bêtes ne mangent pas les grosses bêtes"). Il est bon de parler franchement de tout cela en petit comité. c'est delicat mais important comme le bonheur.

bonjour. Vous utilisez le mot des anciens, et de Freud aussi et vous avez raison. Il s'agit de la part de votre énergie vitale qui "ose" prendre une formeouvertement sexualisée. Il est certes possible de troubler la fonction sexuelle avec des toxiques, dont les antidépresseurs, 'alcool, le tabac.. Cependant chez les hommes ces troubles sont d'abord de troubles de la relations entre la tete et la queue (Dieuet la Chair si vous préferez le dire comme ça ). Et je compatis: quelle qu'en soit la cause, je trouve terrible qu'un garçon ait été "privé de dessert" pendant si longtemps. Vous avez raison de vous reveiller cela ne doit pas durer. Ben entendu vous passerez et etes déjà passé par la cas "medecine" ..avec le résultat que vous dites. Je vous conseille vivement de consulter un psychiatre qui ne soit pas embarrassé par ces question d'orientation sexuelle. 5 ans après il ne s'agit pas d'une "panne sexuelle" comme on raconte dans les magazines. Appelons cela un mutisme de votre libido= un mutisme de votre appareil à vous orienter vers les acrivités sexuelles. Mutisme c'est là pour vous dire que les mutiques ne se taisent pas pour rien: ils ont été maltraités. D'autre part, cet organe d'orientation vers les choses sexuelles, c'est à dire vers les au moins deux sexes (le votre et ceux des autres), il a une histoire. Il s'estbien développé jusqu'à 5 ans, apartir dequoi il se laisse endormir pour developper plutot les acquisitions scolaires... puis la question revient souvent vers 14 ans à la recherche de ce que c'est que "la connaissance au sens Biblique" (ils se connurent et eurent des enfants). Les causes de dépression à 16 ans tournent autour de ce reveil qui est traité par les anesthésiants. Vous en avez pris une surdose. Faites vous accompagner pour remettre tout cela en circuit. Ce qui estanesthésié n'est pas disparu.. cela se protège seulement d'une souffrance redoutée.. (je pense ici à l'expression "le petites bêtes ne mangent pas les grosses bêtes"). Il est bon de parler franchement de tout cela en petit comité. c'est delicat mais important comme le bonheur.