en matière de sexualité, particulièrement entre garçons, mais aussi entre les filles, on essaie de se persuader qu'il y a des "trucs qui marchent". Et de ce fait un certain nombre de "trucs" marchent... mais sans doute pas autant que les caractères sexuels dits "secondaires" (poitrine, fesses, voix, pilosité..) Le commerce s'en inspire en promettant des aphrodisiaques, des anxiolytiques, des antidépresseurs, de l'EMDR, de la psychanalyse.. C'était un bon truc d'avoir une formation en sexologie, et un autre bon truc d'avoir un diplome de psy... mais nous ne sommes pas ici dans les "effets bio-logiques" qui seraient à la rigueur comparables. Si vous n'avez pas progressé avec telle personne, ou avec telle autre, il est possible que vous ne vous soyez pas "entendus". C'est d'ailleurs l'hypothèse que l'on fait en allant voir un sexologue: comment se fait il que NOUS ne parvenions pas ENSEMBLE à surmonter une mémoire et/ou un fantasme de viol ? Et puis c'est ce que l'on fait quand on va ensuite voir un psy : quelle est la place de ce fantasme de viol dans ma construction personnelle d'un obstacle entre le plaisir et moi ? Ensemble avec le psychothérapeute. Et ensemble avec le conjoint vous pouvez explorer cette question sur votre "absence de ressenti de benefice malgré les bons soins des partenaires des 2 relations. Les voies de dégagement viendront de l'expérimentation que vous ferez sur la base de ces deux relations. Quelles sont les hypothèses de ces 2 partenaires là ? Quelles sont vos propres hypothèses: voilà la base sur laquelle travailler plus loin.
Répondu le : 21-10-2016 18:10