Ces questions semblent vous harceler de façon très contraigantes: c'est ma première réponse , si mon collègue répond comme si la questionne se posait pas..entendez qu'elle ne se poserait pas si l'Homme n'était qu'une illustration d'un cours de physiologie médicale. Pour parvenir à entendre ma seconde réponse, il faudrait que vous puissiez un instant lacher votre question (ou qu'ellevvous lache).. suffisamment pour entendre que la réponse de mon collègue s'appliquerait tout autant à cette question identique: quels sont les effets négative de la respiration ? Pour la masturbation comme pour la respiration la réponse "il n'y a pas d'effet négative" ne pense pas à VOTRE expérience de la masturbation qui est manifestement problématique. Pas plus qu'on ne penserait que pour qui souffre d'asthme son expérience vecue tous les jours et toute le journée, il la vit comme "les effets négatifs de la respiration". Manifestement votre masturbation ne vous apporte pas un satisfaction qui vous permette de vivre libre et heureux le reste de la journée. D'autres peuvent être transportés dans un enfer permanent (une de vos images il me semble) par une pensée qui ne peut pas se détacher du danger des araignées, ou du cancer ... pensées à quoi tout peut les ramener minute après minute. Cette pensée obsédante peut devenir une torture (le mot "effet négative" est alors bien faible). Et il est fréquent que cela puisse se fixer sur une fonction du corps qui reste "normale du point de vue de la médecine" pour les autres. Se fixer sur le fait de respirer (et si j'oubliais de respirer ?) Se fixer sur le fait de se masturber (et si j'allais en enfer ?) et si c'était seulement sur le fait de "penser" à se masturber, la torture pourrait être ressentie comme égale.. Le traitement médical, principalement psychologique, de telles pensées obsedantes demande du temps et de la continuité dans les soins, mais c'est possible de ne plus être la victime passive de ses pensées obsédantes. Curieusement, cela commence par s'entrainer à ne plus lutter contre.. puis les idées sont là "à coté mais elles ne me touchent plus autant". Essayez de faire sur le net , l'exercice guidé par notre collegue ANDRé "les pensées obsedantes" (YOUTUBE). Ecouter l'exercice ne sert à rien. Prenez 10 minutes et ne faites que cela. 10 minutes par jour et vous retrouverez unpeu de liberté, puis un peu plus. Et vous consulterez votre médecin traitant qui vous donnera l'adresse de son spécialiste local auquel il fait confiance.
Répondu le : 30-11-2016 15:11Ces questions semblent vous harceler de façon très contraigantes: c'est ma première réponse , si mon collègue répond comme si la questionne se posait pas..entendez qu'elle ne se poserait pas si l'Homme n'était qu'une illustration d'un cours de physiologie médicale. Pour parvenir à entendre ma seconde réponse, il faudrait que vous puissiez un instant lacher votre question (ou qu'ellevvous lache).. suffisamment pour entendre que la réponse de mon collègue s'appliquerait tout autant à cette question identique: quels sont les effets négative de la respiration ? Pour la masturbation comme pour la respiration la réponse "il n'y a pas d'effet négative" ne pense pas à VOTRE expérience de la masturbation qui est manifestement problématique. Pas plus qu'on ne penserait que pour qui souffre d'asthme son expérience vecue tous les jours et toute le journée, il la vit comme "les effets négatifs de la respiration". Manifestement votre masturbation ne vous apporte pas un satisfaction qui vous permette de vivre libre et heureux le reste de la journée. D'autres peuvent être transportés dans un enfer permanent (une de vos images il me semble) par une pensée qui ne peut pas se détacher du danger des araignées, ou du cancer ... pensées à quoi tout peut les ramener minute après minute. Cette pensée obsédante peut devenir une torture (le mot "effet négative" est alors bien faible). Et il est fréquent que cela puisse se fixer sur une fonction du corps qui reste "normale du point de vue de la médecine" pour les autres. Se fixer sur le fait de respirer (et si j'oubliais de respirer ?) Se fixer sur le fait de se masturber (et si j'allais en enfer ?) et si c'était seulement sur le fait de "penser" à se masturber, la torture pourrait être ressentie comme égale.. Le traitement médical, principalement psychologique, de telles pensées obsedantes demande du temps et de la continuité dans les soins, mais c'est possible de ne plus être la victime passive de ses pensées obsédantes. Curieusement, cela commence par s'entrainer à ne plus lutter contre.. puis les idées sont là "à coté mais elles ne me touchent plus autant". Essayez de faire sur le net , l'exercice guidé par notre collegue ANDRé "les pensées obsedantes" (YOUTUBE). Ecouter l'exercice ne sert à rien. Prenez 10 minutes et ne faites que cela. 10 minutes par jour et vous retrouverez unpeu de liberté, puis un peu plus. Et vous consulterez votre médecin traitant qui vous donnera l'adresse de son spécialiste local auquel il fait confiance.
Répondu le : 30-11-2016 15:11